Dans cet essai, l’auteur met en évidence les excès et les risques de l’économie de
l’attention : « Nous sommes devenus des poissons rouges,
enfermés dans le bocal de nos écrans, soumis au manège de nos alertes et de nos
messages instantanés. »
Cette économie de l’attention brouille les repères des consommateurs, leur « rapport aux médias, à l’espace public, au savoir, à la vérité, à l’information »… et aux marques.
En tant que « capteurs d’attention » et face à la conscience grandissante de l’aliénation de chacun aux sur-sollicitations digitales, les marques gagneraient à repenser leur mode d’insertion et leurs messages dans cet écosystème en surchauffe.
Il ne faudrait pas prendre l'homo-numericus pour un poisson rouge ;-)